🇫🇷 Cette pétition bilingue portée par l’Alliance Humaniste dénonce la TVA comme un impôt injuste, contraire aux principes de proportionnalité et d’égalité fiscale garantis par les articles 13 et 25 des Déclarations des droits de l’homme et aux droits de l’enfant. Elle appelle le Parlement européen à réformer la fiscalité en remplaçant partiellement la TVA par un impôt sur le revenu plus progressif et un impôt sur les sociétés fondé sur la valeur ajoutée, afin de rétablir la justice fiscale et le respect de la dignité humaine.

🇬🇧 This bilingual petition, led by the Humanist Alliance, denounces VAT as an unfair tax that violates the principles of proportionality and fiscal equality guaranteed by Articles 13 and 25 of the Declarations of Human Rights and by the Rights of the Child. It calls on the European Parliament to reform taxation by partially replacing VAT with a more progressive income tax and a corporate tax based on added value, in order to restore fiscal justice and respect for human dignity.

Cette pétition demande la réévaluation de la TVA, jugée injuste et contraire aux principes des droits de l’homme, car elle frappe indistinctement tous les citoyens sans tenir compte de leurs facultés contributives, pénalisant ainsi les plus modestes et les enfants. Elle propose de la remplacer partiellement par un impôt sur le revenu réellement progressif et un impôt sur les sociétés rénové, afin de restaurer l’équité fiscale et la conformité avec les articles 13 et 25 des Déclarations des droits de l’homme.

Cette pétition citoyenne appelle à une réforme du système fiscal français en dénonçant l’injustice de la TVA, jugée contraire à l’article 13 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. Elle met en lumière l’absence de proportionnalité de cet impôt, qui touche tous les foyers sans distinction de revenus, et plaide pour une fiscalité plus équitable, respectueuse des droits fondamentaux et des capacités contributives de chacun.

La France connaît une instabilité politique marquée par cinq nominations de Premier ministre en moins de deux ans. Selon la pétition, le président Macron impose à M. Lecornu un travail forcé, contre sa volonté, violant la Constitution, les droits de l’Homme et les conventions internationales sur le travail forcé. Cette situation déstabilise le pays et nuit à sa crédibilité internationale. L’auteur considère que le président commet un manquement à ses devoirs et appelle les citoyens et parlementaires à soutenir une motion de destitution.